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"Sandy" (John Travolta, Grease)
16 février 2010
Où un p'tit coin d'Slovaquie, c'est comme un coin d'paradis
Il y a fort longtemps, trop longtemps, que je n'ai pas déclaré ma flamme à un jeune créateur forcément formidable, beau et original, qui adorerait mon blog et y passerait souvent. Les bonnes choses se perdent, que voulez-vous, Lindsay Lohan s'est remise aux hommes, Brad Pitt ne quitte plus Angelina Jolie, et Galliane néglige ses chroniques foudroyantes sur la jeune création autrichienne. Reprenons donc là où je vous ai laissées, pantoises et pendantes de la langue, c'est à dire à l'Est, puisque la talentée du talon dont je vais causer aujourd'hui est originaire de Slovaquie. Sandie Jancovek, un nom qui sonne juste, qui ne résonne pas encore mais sera bientôt placardé sur toutes les vitrines André de France (et de Slovaquie?). Car l'enseigne française, non contente de filer les clés de sa cellule créative à quelques blogueuses au pied long, continue ses partenariats souvent réussis avec des marques "tendance". Pour ne pas dire pointues (Jeu de mots, olé). Cet été, ce sera donc Jancovek qui aura l'honneur de vous émoustiller l'orteil avec ses tissus grand vichy, ses détails fluo, ses lanières joliment tressées. "Une collection coquette pour une fille qui ne se prend pas au sérieux", m'a confié la créatrice.








03:51 Publié dans Jeune créateur deviendra grand | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : jancovek, eple & melk, maloles
"Kiss the bride" (Christophe Willem)
11 février 2010
Où je cède aux charmes des Bridélices
La meilleure nouvelle des prochains mois, hormis la naissance du deuxième bébé - à 45 ans - de Monica Belluci, c'est bien la montée en puissance de la sandale à brides. You-pi. Les plus fidèles parmi vous se souviendront de mon plaidoyer, l'an dernier, pour la sandale montante sous toutes ses formes. Parce qu'on ne change pas une fille qui gagne (à être connue, haha), je vous ressors mes vieilles obsessions de mes archives, auxquelles je rajoute juste quelques brides. Car cette passion, je l'ai là, "chevillée au corps", comme dirait notre amie du Poitou charmante.


Sandales magiques Proenza Schouler

Sandales daim Crimson & Clover

Sandales Mellow Yellow
Et dans la famille "orthopédique mais hautement magnifique", je n'oublie pas mon coup de coeur pour les Sandro de cet été. Mais avec la fameuse polémique qui a occupé deux jours et 245 commentaires la blogomode - "les bottines rock Sandro sont-elles vraiment de mauvaise qualité?"-, maintenant, je reste sur mes gardes. Garde à vous, gare à nous.


PS : si quelqu'un veut bien les clés de mon blog pour le relooker un peu, je suis preneuse !
02:46 Publié dans My Life | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : proenza schouler, mellow yellow, sandro
"Hammer and nail" (Indigo Girls)
08 février 2010
Où je ne suis pas vraiment vernie, vous allez voir pourquoi
Je suis du genre à me moquer des filles qui vont se vernir les ongles en argenté parce que Elle l'ordonne cette semaine (p.101, le vernis "Suzy skies in the Pyrenees" d'OPI étant vivement recommandé). Je suis de ce genre-là, d'un très mauvais genre donc, mauvaise fille, rebelle jusqu'au bout des ongles, et vernie malgré cela. Hier, les ongles devaient être violets, avant-hier c'était bleu marine, désormais silver, si Elle veut bien. Je ne veux pas.
Maintenant, quand je veux aussi, je peux être très bon chic bon genre. Quand Comptoir des Cotonniers m'avertit par email que sa robe cocktail noire bénéficie d'une ristourne exceptionnelle qui la place à 25 euros tout rond, je me convainc que j'en ai toujours rêvé. So, si cocktail Galliane, et me voilà même à trouver l'excuse pour acheter la party dress : l'anniversaire de l'HDMV le lendemain, avec théâtre et resto gastro.


Maintenant, allez comprendre pourquoi, je me suis mise en tête que cette robe méritait une ceinture taille haute pour en casser le côté tradi, que les 25 euros ne gommaient pas vraiment. Pas de camel en vue dans la boutique, la vendeuse me tend "juste pour la forme, parce que la couleur n'ira pas du tout avec", une ceinture grise de la nouvelle collection. Vous connaissez la suite.
La ceinture coûtait ... 75 euros. Oublié, les petits 25 euros de la robe, je n'ai pas été de taille à reposer cet accessoire à mes yeux si essentiel. Alors allez-y, tartinez vos ongles de vernis argenté, buvez-en en infusion, repeignez vos murs en pailleté si vous le souhaitez, je suis très mal placée désormais pour vous faire la leçon. Argent, trop cher, trop grand, l'envie n'a pas de prix.
04:35 Publié dans My Clothes | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : comptoir des cotonniers, elle, opi