02 mars 2012
"Vendredi, get shorty !" #54
Où le vendredi, c'est sans parti pris
LES BELLES CHOSES
Appelez-moi "la-spécialiste-pour-dégoter-des-pièces-superbes-qu'elle-laissera-dormir-dans-son-placard." C'est bien moi, malheureusement, l'oeil à l'affût mais le neurone indisponible au moment de faire vivre des pièces "fortes" dans son dressing. Easy wearing, easy living. Heureusement que j'ai ce blog pour vous les montrer, et ne pas les acheter. Non mais regardez-moi ces maxi-pochettes là, colorful et chaudes comme des tournesols... Y'a de quoi regretter d'être froide du stylisme, là, non ?
15:27 Publié dans Vendredi, get shorty ! | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : rockmafia, abaco, boots teddy zadig&voltaire, la redoute foster the people, pumped up kicks
12 août 2011
"Vendredi, get shorty" #34
Où le vendredi, on valorise ses acquis
ETRENNEE
Enfin ouverte, ma pochette-surprise de la Poste. Deux jours de retard sur la livraison, et je m'étais fait une raison : ne pas la porter pour le mariage de ma copine Isa. Mais ce n'est pas pour autant que j'allais reléguer ladite pochette aux oubliettes. La première occasion a fait le larron, et le marron.
Pochette Abaco, short Scarlett Roos (2011),
tunique Zara (old), nu-pieds Mellow Yellow (2011)
Et je vous épargne le gros plan sur mes pieds, vernis comme il sied. Le camel est éternel, même sur l'orteil.
00:07 Publié dans Vendredi, get shorty ! | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : abaco, miss cassiopé, laurence doligé, vestiaire de copines
08 août 2011
"Kiss the bride" (Christophe Willem)
Où la carpe se marie au lapin
La mariée portait des Repetto vernies rouges. Comme un petit fruit défendu, qu'elle ne dévoilait qu'à la demande, des salomés pomme d'amour pour de sa vie, le plus beau jour. C'était osé, osé et réussi, tant et si bien que j'en ai maudit, au final, ma tenue bien tradi. Camel et blanc, tout fout l'camp, moi je vous le dis. Rien pour twister l'ensemble, même pas un chignon, même pas un bracelet vert amazonie, rien. La plus plate harmonie. Risque zéro sur l'échelle du vestiaire.
Robe Sandro (2011), compensées Jonak (2011), ceinture Les Composantes (2011)
Et puis j'ai eu le temps de ruminer ma prudence, avec sous les yeux, les escarpins bleu électrique de ma copine Adeline. Le deuxième effet Keep Cool, après les Repetto rubis. Ca m'apprendra à redouter le mix de couleurs aussi fort que ma deuxième ride (la première est arrivée, merci de votre sollicitude, je vous la présenterai bientôt). De toutes façons, me dis-je en mon for intérieur, la mariée était trop belle pour que je cherche, ne serait-ce qu'une micro-ipod-nano seconde, à lui voler la vedette. Prudence est mère d'amitié, c'est bien connu. D'ailleurs, pour me remercier, la reine du jour m'a envoyé tout droit son bouquet. Au prix d'une haute lutte (mesurer 1m80, cela ne sert pas QUE dans les rayons des supermarchés, NDLR), qui a coûté la moitié des pétales de l'ensemble, j'ai remporté le trophée, rapporté fissa sous le nez de l'HDMV. Mariée dans l'année. A voir la tête de mon perdreau, c'était vraiment le bouquet final.
PS : et sinon, recevoir le sac pochette prévu pour compléter la tenue le lendemain du mariage, ça vaut combien, dans l'échelle de la loose ?
01:43 Publié dans My Life | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : sandro, abaco, jonak, repetto